"Aujourd'hui, ça tire plus à Bruxelles qu'à Anvers. Sans fusion des zones, notre capitale est condamnée à se battre avec un bras attaché dans le dos"

"Aujourd'hui, ça tire plus à Bruxelles qu'à Anvers. Sans fusion des zones, notre capitale est condamnée à se battre avec un bras attaché dans le dos"

Dans un entretien, le libéral Stéphane Obeid, chef de cabinet adjoint du ministre fédéral de l'Intérieur Bernard Quintin, revient sur le fameux projet de fusion des zones de police qui fait bondir les 19 bourgmestres de la capitale. Il revient sur les griefs émis dans "La Libre" par le bourgmestre d...

Redirecting to full article...