« In violentia veritas », c’est la guerre de la rentrée littéraire

Catherine Girard affirme dans « In violentia veritas » que son père, Georges Arnaud, acquitté des meurtres de son père, de sa tante et de leur bonne en 1941, était bien l’assassin. Son frère Henri Girard est scandalisé : « Ce sont de folles affabulations. »...
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