"Vipère au poing" : dans son village, on se souvient de "Folcoche", une femme austère, "sale" et isolée

"Vipère au poing" : dans son village, on se souvient de "Folcoche", une femme austère, "sale" et isolée

Sous la mousse d’une tombe oubliée du Maine-et-Loire repose la mère la plus haïe de la littérature française. Effacée deux fois – par la mort et par la plume de son fils, Hervé Bazin, dans « Vipère au poing » (1948) – « Folcoche », Paule Guilloteaux de son vrai nom, renaît ici dans les souvenirs de...

Redirecting to full article...