Un chemin environné de vide - À Caroline Grandjean

J’ai pensé à toi, Caroline. Fugitivement, dans un recoin du crâne. Lorsque, quatre ou cinq jours avant les vacances, j’ai expliqué à cette classe de cinquième que oui, j’aime les garçons. Comment on fait, pour vivre, quand on aime des filles, des garçons, et que ça nous condamne pour toujours, à êtr...
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