Léonor de Récondo : "J’ai été éblouie par la beauté des images de 'The Brutalist' et cette forme de lenteur dans le récit"

Léonor de Récondo : "J’ai été éblouie par la beauté des images de 'The Brutalist' et cette forme de lenteur dans le récit"

Contrainte de fuir la maison familiale d’Irun, menacée par les franquistes, Enriqueta pleure son pays perdu. Dans son dernier roman*, l’écrivaine et violoncelliste relate l’exil de sa grand-mère, survenu en 1936. Un récit peuplé des fantômes qui ne l’ont jamais quittée – et dont la tumultueuse histo...