"On ne transmet pas le cancer mais un risque plus important d’en développer un jour", selon la docteure Daphné t’Kint

La prédisposition génétique ne suffit pas toujours à déclencher la maladie. Le principal facteur reste l’âge. Comme la spécialiste le rappelle : Plus on vieillit, plus l’ADN a tendance à s’abîmer. Et donc, on revient au départ : si on répare moins bien l’ADN, on est plus à risque de faire des cancer...
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