La poétesse Soline de Laveleye : "Combien d’oiseaux partis et d’airs appauvris, combien d’enfants aussi ?"
Il faudrait, m’a-t-on dit un poème pour la route car nous sommes aux confins d’une année et peut-être du monde – un poème, vraiment ? C’est un chœur qu’il faudrait, la force d’un nous un rite funéraire, une hospitalité Il faudrait une géante aux paumes de coton aux doigts d’araignée et la délicatess...
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