La revue de presse : trois jours de grève, trois fois plus d'absurdité ?

Le paradoxe est souligné par La Libre. Cette grève frappe d’abord ceux que les syndicats sont censés défendre : les travailleurs précaires, les familles sans voiture, les étudiants sans ressources, ou encore les salariés à horaires fractionnés. Trois jours de grève, c’est trois jours sans transports...
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