Un milliardaire, un député et une entreprise belge au cœur d’un scénario digne d’une série politique

Comment ? En promettant à la SFPI, le bras financier de l’État, de rester actionnaire majoritaire. Donc l’État belge restait majoritaire, mais le milliardaire lui imposait un pacte d’actionnaire qui aurait donné à Xavier Niel la main sur la direction. Le président de Proximus aurait donc été choisi...
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